Ah la beauté de l’hiver dans notre nouvelle campagne ! Source d’émerveillement… et de délais dans nos travaux :p Pas facile de trouver des compromis avec le ciel ces derniers temps. Heureusement, nous profitons au maximum des jours plus cléments et continuons d’avancer grâce aussi aux coups de main(s) de nos amis motivés !
Après l’élagage en compagnie de Robert et Maria, l’aménagement du terrain continue avec la tranchée des techniques que nous avons creusée, équipée de techniques (lit de sable + gaines pour l’eau et l’électricité) et rebouchée (ben oui… et c’est aussi balèze que de creuser, c’est pour dire !). On sort très couverts et on se découvre à mesure que l’on bèche, remède radical contre le froid ! Les nouveaux petits muscles apparus sur mes bras en fin d’année à Angers continuent de grandir 😉
Depuis mon dernier article, le plancher a lui aussi bien évolué. Après le calcul des cotes correspondantes et le débit de l’OSB composant la face inférieure des caissons isolés à l’abri du proche, nous sommes passés à la réalisation des 11 « parts de tartes » identiques (nous ferons la douzième sur mesure, pour s’assurer de rattraper les imprécisions) dans le hangar. Tracer l’emplacement des longerons, placer, couper et visser les traverses et les entretoises, les journées hivernales sont courtes et le travail se poursuit souvent au-delà du coucher du soleil… grâce à l’éclairage que nous avons installé récemment. À l’heure où je vous écris, il nous reste à isoler les parts et à débiter l’OSB pour leur faces supérieures avant de pouvoir y coller le plancher.
Du côté des longerons, les tenons permettant de les insérer dans la part ronde au centre sont terminés et nous devons nous attaquer à leur ajustement.
Le redoux de la semaine passée nous a permis de bien progresser sur l’emplacement et la concrétisation des « fondations » : un vide ventilé est créé pour éviter un contact directe entre le sol et plancher à l’aide de pneus récupérés remplis de graviers.
waouhhh quel magnifique travail et quel exemple !! du rêve à la réalité