Les conclusions de mes expériences de bouturage de Crassula Ovata se confirment.
Pour commencer, la mère se porte à merveille : elle s’est ramifiée, fait plein de nouvelles branches et est plus équilibrée.
Quant aux boutures, j’avais essayé plusieurs techniques (pour ceux qui ont manqué le premier épisode, c’est ici) et les résultats sont limpides : les boutures de tiges ont beaucoup mieux fonctionné que celles de feuilles. Seules deux survivantes se sont développées à partir de feuilles, qui ont pourri avant de reprendre dans le reste des cas.
Mais heureusement, que j’avais aussi misé sur les tiges : elles ont toutes repris et j’ai même pu faire des heureux !
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